Pour moi, la femme est essentiellement l'Autre. C'est-à-dire quelqu'un qui nous oblige au dépassement des croyances closes, des certitudes trop bien posées, des irrémédiables fermés.
L'autre : celui qui est susceptible d'éveiller, qu'il le veuille ou non, l'impensable, en se souvenant que - impansable - peut s'écrire aussi comme cela.