On pouvait se retrouver au fond d’un cachot, seul, dans le noir, avec pour toute pitance des aliments salés, et rien à boire. Peut-être même ligoté ou enchaîné. Ces pratiques n’étaient pas classées parmi les tortures, mais faisaient simplement partie du processus d’intimidation. Ensuite, venait tout le tralala dont on parle dans les romans d’espionnage : on privait le suspect de sommeil, on l’isolait complètement, ce genre de trucs.