Je ne lis pas le tout-venant des romans. J'ai le plus souverain mépris pour la marchandise ordinaire des bibliothèques. Vous ne m'entendrez jamais prendre la défense de ces productions puériles qui ne détaillent rien que des principes discordants incapables d'amalgame, ou de ces vains tissus de banalités dont on ne peut tirer aucune déduction utile. Il ne sert à rien de les jeter dans l'alambic littéraire ;