Le lendemain, à dix heures tapantes, j'étais à la Bilipo, la Bibliothèques des Littératures Policières, située juste à côté de la caserne des pompiers, derrière Polytechnique, dans la rue du Cardinal-Lemoine. Comme si, à côté d'un amas de brûlots et de livres trop chauds pour être tranquille, il fallait des soldats du feu, prêts à toute éventualité.