Jean-Célestin Busthyn

Mariette, fille de la campagne, est engagée comme dame de compagnie pour une riche famille. Sur le papier tout les oppose. Elles vont pourtant apprendre l’une de l’autre et s’associer pour enquêter sur la disparition du fils de madame de saint Simon.

D’une jolie plume, l’auteur nous transporte dans cette histoire intéressante et poétique. Malgré quelques longueurs on se laisse happée par ces 2 personnages aussi attachants l’un que l’autre. Les paysages sont joliment dépeints.

Les chapitres entrecoupés du journal de Mariette qui s’adresse à son double permet de bien analyser ses sentiments.

C’est une chouette histoire, joliment écrite.

A la lecture de la quatrième de couverture, je pensais lire un roman historique, moi qui adore cela, j'étais enthousiaste de découvrir celui-ci. Au bout de quelques pages, on comprend que le récit se passe à notre époque, bien qu'il n'y ait aucune date mentionnée ( ce qui m'a un peu perturbée, surtout à la lecture de certains passages) 



L'histoire en quelques mots: Mariette, embauchée en tant que demoiselle de compagnie, se lie rapidement d'amitié avec sa patronne. Elle l'aidera ainsi à mettre en lumière les événements liés à la disparition de son mari et de son fils quelques années plus tôt. 

L'idée de base aurait pu être bonne, mais c'était beaucoup trop calme pour moi. Le manque certain d'action, les incohérences et les descriptions beaucoup trop détaillées m'ont complètement perdue. De plus, je n'ai pas eu l'impression de lire les pensées d'une jeune fille de notre époque. J'ai apprécié cependant lire les passages sur les lieux visités, la plupart se trouvant dans la région où je vis. La relation entre Mariette et Jeanne est par contre très belle et emplie de bienveillance.

Malheureusement, c'est une déception pour moi, mais ce n'est que mon ressenti, cela ne veut pas dire que vous ne l'aimerez pas. N'hésitez pas à vous faire votre propre avis.

Roman offert par Gleeph, dans le cadre d'une collaboration commerciale non rémunérée.

L’histoire d’une dame de compagnie, Mariette, qui se prend d’amitié pour sa patronne qui est en quête de vérité sur la disparition tragique de son mari et de son fils. Intrigue qui manque à mon goût de rebondissement, un dénouement qui arrive trop vite et un côté beaucoup trop descriptif du paysage qui entoure les personnages comme le canal du midi ou plus tard le Gévaudan sans oublier un journal intime tenu par Mariette qui n’apporte rien de plus au lecteur. Dommage l’idée était bonne mais mal exploitée.

Partenariat non rémunéré avec Gleeph

Une découverte poétique et dépaysante !



Un récit bien écrit tant au niveau du vocabulaire que de l'aspect poétique.  Le titre du livre n'est pas très évocateur bien qu'il s'agit du nom du personnage principal et que l'on partage du point de vue de Mariette.

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire car je trouve que l'intrigue est longue à démarrer. Sur 193 pages, elle devient intéressante à partir de la page 67.



C'est l'histoire d'une jeune femme, Mariette, qui est engagée comme Dame de compagnie au service d'une riche veuve Madame de Saint-Simon, qui a perdu son mari et son fils dans un accident de bateau depuis des années.

Un jour, la femme reçoit un objet, indice qui lui laisse penser que son fils est toujours en vie. Les 2 femmes vont ainsi enquêter pour découvrir le fin mot de l'histoire.



C'est une Inuntrigue familiale très prenante avec des personnages très attachants.



Une fois la résolution de l'intrigue, la fin de l'histoire est trop "longue" je trouve. J'ai eu du mal à le lire jusqu'au bout car j'avais un sentiment d'achevé



Ccl :

Si je devais donner une note, ce serait 3/5.

Ce n'est pas mon genre de lecture habituelle mais j'ai eu la chance d'avoir ce livre en cadeau, offert par Gleeph et la société des écrivains. Il très bien écrit et l'intrigue tient en haleine jusqu'à ce que l'on découvre son dénouement. Une véritable invitation au voyage, en tant que lecteur, j'ai apprécié la découverte des écluses des villes françaises.