Si « réel » et « vérité » en viennent à s’opposer comme termes antinomiques, ne faut-il pas opter pour l’un ou pour l’autre ? Et si la Vérité contient la notion d’entropie universelle, ne doit-on pas espérer que la Réalité puisse recouvrir une néguentropie permanente, insaisissable par la raison ?