Proudhon l’avait bien vu : le Travail porte en soi sa propre exaltation. La fatigue ne naît pas du labeur et de l’œuvre, mais elle naît du Simulacre social et de l’attente du Jugement. Par crainte d’être condamné –ou de n’être pas approuvé- l’homme du XXe siècle vit sur les nerfs.