De ces photographies que je fixe jusqu'à l'obsession, je tente de décrire ce qui aurait pu être. De la photographie, je n'aime que son avant-après. Du supposé qu'elle suppose. Dans l'avant, au moment où humains et matière s'assemblent, et dans l'après, au moment où ils se délitent, après le clic fatal. Parce que dans cet entre-deux, j'existe avec eux.