De là-haut, l’horizon n’avait plus de limites. Jamais je n’avais été aussi seul, pourtant j’étais heureux. Du haut de ma solitude, je regardais le monde marcher sur les trottoirs. Les codes étaient pour moi incompréhensibles, les mots inaudibles, je me trouvais déraciné, aspect paradoxal, perdu, mais en quête d’absolu. Enfin, je pouvais croire