Je pense aussi à ceux qui sont encore dans des camps de concentration, qui existe toujours, mais qui ont simplement changé d'endroit et de pays.
Avons-nous le droit de les oublier, tous ces gens-là, et de les effacer de nos mémoires ?
Pour moi, oublier serait trahir la fidélité aux compagnons morts là-bas. C'est tout ce qu'il me reste.