L'Egypte moderne ne manque pas de ces doux maniaques, qu'elle croit possédés par des djinns (elfes, fées). Des touristes ou résidents européens sont parfois contaminés. Avant la guerre de 1939, une Anglaise défraya la chronique locale : elle errait dans les temples en ruine, un peu à la manière d'une somnambule, et se donnait pour la réincarnation d'Isis soi-même.