Dès 1907, d'ailleurs, lors de l'épisode du prix Goncourt manqué (*), Jules Renard s'exclamait : « J'ai lu Ramuz, il y a des coins charmants, mais 200 pages de trop. Et c'est écrit ! ! ! rappelez-vous notre statut modifié : de langue française. Ce Suisse a de l'aplomb. »
(*) pour son second roman "Les Circonstances de la vie".
[Jean-Louis PIERRE, "Identités de C.F. Ramuz", Artois Presses Université, 2011 : Partie III : ETHIQUE et POLITIQUE, A — "Le poète et la communauté", 3 — "La légitimation", c) "Les risques de l'écriture rustique", page 187]