Jean-Luc Delvaux

1953, les pinardiers sillonnent la Nationale 7 pour approvisionner le "Nord" ouvrier en vins du "Sud". Mais depuis quelques temps un gang n'hésite pas à user de violences pour s'approprier les précieux chargements. Jacques Gipar, journaliste à "France-enquêtes", est bien décidé à faire toute la lumière sur cette affaire...

Un scénario gentillet, une résolution un peu précipitée, mais à côté de ça nous avons le plaisir de retrouver ce monument de notre histoire qu'est la Nationale 7, alors à son apogée. Nous retrouvons aussi avec plaisir les véhicules des années 50, véritables vedettes de l'histoire. D'ailleurs cette bande dessinée est tout à fait dans le style de la production Franco-Belge de l'époque. Un double page en fin d'album, illustrée de quelques photos, nous présente les vrais pinardiers...



Une petite BD sympa, sans prétention...pour les nostalgiques.



http://www.youtube.com/watch?v=uXNIrFStLa8

A France Enquêtes, c’est l’inquiétude : Jacques Gipar a disparu depuis trois semaines ! Petit-Breton, son assistant, est chargé de le retrouver. Il commence par se rendre à l’appartement de Gipar… Quelqu’un s’y trouve…



Critique :



Cette fois-ci, Thierry Dubois, l’auteur nous entraîne dans une affaire d’espionnage débutée dans « L’Echo de la Taïga », le 8e album, à lire de préférence avant d’aborder celui-ci. Les Russes semblent s’intéresser très fort à la nouvelle centrale atomique de Saclay. Y aurait-il des traîtres parmi l’équipe d’ingénieurs ? Et Jacques Gipar va-t-il réapparaître ? Difficile, en si peu de planches, de donner un côté crédible à cette histoire d’espionnage. Le livre se laisse lire tout de même, d’autant que Jean-Luc Delvaux nous immerge dans les années 50 grâce en particulier aux véhicules de l’époque auxquels il donne vie.

Il existe une version en noir et blanc de cet album qui présente en vis-à-vis des pages crayonnées et en noir et blanc. Il s’agit d’un tirage limité à 699 exemplaires.

Mais pourquoi donc un simple représentant de commerce, célibataire et pratiquement sans famille, se fait-il assassiner à côté de sa voiture ?

Hmm… On raconte qu’il ne passait pas la nuit seul à l’hôtel des Alliés où il avait ses habitudes… Les bruits courent qu’il serait l’amant de la femme du notaire… Se pourrait-il que le notaire… Hmm… Difficile ! Le notaire se fait assassiner à son tour… Puis, c’est au tour du clerc de notaire ! Mais pour l’inspecteur Général, Général c’est son nom, le coupable est tout trouvé : un gitan du nom de Manolo ! Jacques Gipar trouve le raisonnement beaucoup trop simpliste d’autant que des crimes sont commis après l’arrestation de Manolo…



Critique :



Difficile de ne pas penser à Gil Jourdan et à Maurice Tillieux lorsqu’on déguste cette série. Le cadre des années 50 est bien restitué, en particulier pour ce qui touche aux voitures dont Jean-Luc Delvaux est un grand fan. L’enquête en 44 planches est menée avec autant de suspense que ce format autorise. Le rebondissement final est bien pensé.

Impossible pour moi de ne pas songer à la série Gil Jourdan, et même si comparaison n’est pas raison, je regrette l’absence d’un personnage aussi truculent qu’un Libellule. Petit-Breton, le compagnon de Jacques Gipar ne sert pas à grand-chose. J’étais convaincu qu’il deviendrait le personnage comique de cette série. J’espère qu’il le deviendra un jour.

Régalez-vous avec cette ambiance de roman noir des années 50, surtout si vous êtes amateur de voitures de cette époque.

Tome 9 des aventures de jacques Gipar Notre reporteur -enquêteur des années 50 Cette fois il s 'éclipse un peu laissant la vedette a son ami Petitbreton dans une aventure d espionnage et d'atomes ( boum !! ) Comme le reste de la série c est agréable et léger a lire et collection " calandre" oblige plein de voiture d époque vroum ! vroum ! tut ! tut !

Paris, 1955.



Depuis la révolution d'octobre en 1917, la diaspora russe, les "Blancs" s'est principalement installée à Paris.



Mais les communistes, les "Rouges", veillent toujours et utilisent tous les moyens pour surveiller leurs vieux ennemis.

Que ce soit via le KGB, les services secrets russes, ou... le parti communiste français, indépendant mais... recevant aussi des instructions de Moscou.



Mais parfois, il se trouvent également des personnes qui rêvent encore d'une réconciliation nationale, comme Vladimir Ouliakoff, rédacteur en chef du journal "L'Echo de la Taïga".

Staline avait déjà offert un pardon, en 1945, à tous les émigrés russes, mais tous ceux qui avaient accepté, et étaient retournés en Russie, avaient été arrêtés ou même... fusillés.



Mais voilà, Irina, la fille de Vladimir a été enlevée.

N'osant prévenu la police, Vladimir s'adresse à Pierre, le supérieur de Jacques Gipar, qui confie l'enquête pour retrouver Irina à ce dernier.



Mais dans un contexte aussi particulier que celui qui touche l'Histoire de la Russie, bien malin qui sait encore à qui se fier...



La partie s'annonce serrée pour Jacques et son fidèle ami Petit-Breton...

Le 8° opus le de l' excellente série Jacques Gipar . Tout un monde bien disparu maintenant , une fin ( ou presque) de IV° République .Une histoire bien construite et dans le ton de l époque .Le dessin net ,simple mais agréable de jolis croquis de voitures de ces années là et depuis 2 albums les fiches techniques de modèles des années 50 .Une B D d action en pente douce a ne pas rater

Après avoir réussi à délivrer Irina de ses ravisseurs (cf. Tome 8 L'Écho de la Taïga), Jacques Gipar a disparu !



Personne n'a la moindre nouvelle, ni son ami Petit-Beton, ni Pierre son rédacteur en chef, ni même le Lieutenant Franchou de la DST, Jacques à disparu depuis maintenant trois semaines et toujours rien.



Mais Petit-Breton et Tatiana pense avoir une piste et décident de suivre un certain Igor, convaincus qu'il est mêlé à l'affaire.



En le suivant, il se rendent au Christ-de-Saclay, où une usine d'étude atomique est en construction.

Pour Petit-Breton, l'affaire se dessine tout doucement, Igor y vient pour rencontrer des gens qui lui fournissent des informations sur l'usine, des données ultra-secrètes.



Cette histoire prend décidément des proportions énormes, mais toujours pas de trace de Jacques...

Mon Dieu ! Je suis atterré qu’on fasse encore des bd dignes des années 50. Toute la bd que je déteste dans son expression est ressuscitée parmi les morts. Je ne croyais pas que je reverrai cela de mon vivant. Les miracles négatifs sont toujours possibles.



Les dialogues sont d’une platitude toute épreuve. On ne peut pas dire que la finesse sera la marque de fabrique. C’est comme tout d’ailleurs.



J’ai bien compris que les voitures et notamment les anciens modèles et autres véhicules aujourd’hui de collection sont les véritables héros. Toutes les scènes sont construites autour d’elles que cela soit une course poursuite ou autre. Du coup, le scénario demeure assez classique et peu emballant.



Par contre, j’ai bien aimé le dessin malgré la ligne claire. Je dois bien avouer que c’est de l’excellente ligne claire. Les détails ne sont pas absents des décors méditerranéens. Le charme essentiel va encore aux magnifiques véhicules bien dessinés. Les collectionneurs seront ravis ainsi que les nostalgiques d’une époque aujourd’hui disparue. Comme dit, il en faut pour tous les goûts et je respecte cela.

Ce tome agréable est constitué de 4 histoires.

Elles sont un peu trop courtes, pour que l'on se retrouve réellement attaché aux intrigues, mais ça reste frais et distrayant.

Le dessin est très agréable.

Le charme délicieusement rétro de la série agit une fois encore !
Lien : http://www.auracan.com/album..

Il faut avouer que c'est du consommable !

Mais cette série ne se prend pas pour ce qu'elle n'est pas : les dessins et le scénario sont aussi clairs l'un que l'autre et se laissent "avaler" en deux temps trois mouvements !

Jacques Gipar enquête sur un règlement de comptes entre Corses et Arméniens, pour le traffic de cigarettes.

Il va aller jusque s'infiltrer dans le gang Corse, pour faire avancer son enquête....

Une BD distrayante !

Cette Bd vaut le détour ne serait-ce que pour les nombreux vehicules des années 50 qui y sont représentés. Notamment une Ford Vedette (France) ,voiture de malfrats.

L'intrigue est toutefois bien légère ... une banale histoire de contrebande de cigarettes.

Un très bon GIPAR, tout en simplicité.

J'ai trouvé le dessin vraiment très agréable, et l'énigme simple mais bien construite.

Du bonheur !

J'aime beaucoup les aventures de Jacques Gipar : c'est bref, simple, concis. Le dessin est à l'image de l'intrigue: simple, agréable à regarder.

Dans celui-ci, J. Gipar part à Marseille pour comprendre ce qu'il s'y passe. Plusieurs meurtres ont, en effet, eu lieu ....

Une histoire simple, un dessin clair, des personnages sympas.

Tous les ingrédients pour passer un bon moment !

Franchement, j'ai adore la simplicité de cette bd. Les dessins, les textes, l'intrigue, tout est clair. Mais, c'est fait avec brio. Beaucoup de plaisir !

Jacques Gipar est fidèle à lui-même dans le nouveau tome de cette série : il va poursuivre lentement sa recherche, bénéficier d'un poil de chance en tombant directement sur le truand, et nous présenter quelques belles voitures aux chromes rutilants !

Tant du côté du scénario que de celui du très agréable dessin de Jean-Luc Delvaux, on retrouve chez Jacques Gipar la passion de la BD classique et le savoir-faire qui va avec [...]. Un aspect rétro, un rien nostalgique, qui a tout son charme et joue un peu les madeleines de Proust.
Lien : http://www.auracan.com/album..

Une bonne BD pour se détendre, il n'y a rien de mieux !
Lien : https://universlectures.word..

Les nostalgiques de la BD de papa y trouveront donc sûrement leur compte. Mais (re)lire Gil Jourdan est peut-être encore la meilleure chose à faire.
Lien : http://www.bodoi.info/une-av..