Si l'on tente de retenir les grandes tendances du propos de Julien Gracq, c'est à peine s'il reste quelque chose de tangible et de substantiel, tout n'est encore une fois qu'animé par le sentiment de la fuite, les contours de l'irréalité et parfois comme la sensation d'une absence qui se perd dans une trame romanesque. C'est en quoi la lecture de Gracq peut dérouter certains esprits impréparés à la divagation.