Quand je vois le groupe stationner le soir sur le trottoir à l’angle des trois rues, que je les observe jouer avec leur bâton- qu’ils mordillent eux-mêmes maintenant, puisqu’ils ont renoncé à mon dressage-, il m’arrive de réfléchir cinq minutes à ce que je ferai le jour où j’aurai l’occasion de prendre ma revanche sur la société. Je préfère y réfléchir dès maintenant parce que je ne suis pas sûr de trouver une idée le moment venu.