Il contempla Véronique. La jeune collégienne, déjà très gracieuse, s’était encore embellie avec l’âge. La maturité lui allait bien. À l’époque, tous les garçons l’avaient surnommée la « bombe du collège » tant sa beauté resplendissait. Cependant, Christophe, subjugué comme les autres ados en pleine puberté, lui reprochait alors une certaine arrogance qui la rendait d’ailleurs inaccessible.