Bien qu’aristocrate de nature et d’éducation, il se sentait frère de ces voyous, humbles moyens d’une œuvre immense : l’Arbre de l’Empire s’enracinait dans cette misère et cette ivresse ; et le thème du roman qu’il cherchait en vain depuis des semaines bondit dans son esprit, comme en été, le soleil à l’horizon d’une plaine : l’histoire d’un voyou de Londres régénéré par la guerre.