La mère de Marguerite Duras, qui ne fait pas partie - et sa fille le regrette amèrement - du "corps des hauts fonctionnaires Indochinois", a en fait, "toujours été portée à désirer entrer coûte que coûte et par tous les moyens" dans cette société à laquelle "nous n'avions jamais accès". Aveu révélateur, qui concorde avec les témoignages que j'ai pu recueillir auprès de personnes qui avaient connu Marie Donnadieu quelques années plus tard(...).