« Tu es libre, sire de Rouvrais. Je te rends ta liberté sans aucune condition. Un cheval t’attend avec tes armes. »
— Je me suis jeté à ses genoux en louant sa générosité et sa clémence, mais il a secoué la tête.
« Il n’y a ici aucune générosité, Franc. Simplement, je connais ton roi. Il recevra ta liberté comme une insulte. Il veut paraître grand et noble, alors qu’il n’est qu’un mesquin roitelet. Il comprendra mon mépris en te voyant, et tant que tu seras près de lui, tu seras le vivant reproche de sa petitesse et de sa bassesse. »