Je sais, que sa naissance, à la vôtre inégale,
Ne se peut pas vanter, d'une tige Royale ;
Et qu'avant que la Perse, obéît à vos lois,
Vous étiez déjà soeur, fille, et veuve de Rois.
Mais, enfin, devant vous, vous savez que ma mère,
Possédait la puissance, et le coeur de mon père,
Et cet honneur, sans doute, est le plus glorieux,
Qui sur vous, aujourd'hui, fasse jeter les yeux.