Toi, 1840, 80 ans
vieux peintre qui dessine
bec et ongles, le futur
Je regarde à rebours
ton rêve, ce geste qui lacère
couteau du sculpteur
la planche de merisier
Je glisse sur la brume
et je vois, traits d’encre dans le ciel
herbes nouées, armérias sur falaises
descendre ta force aimantée
qui désigne la joie sur fond d’épaves