Yorgos, tu ne battrais pas ton âne pour le rendre plus fort. Il ne serai pas capable de porter des fardeaux plus lourds ; en fait, tu l’affaiblirais. Effrayé, il reculerait devant toi quand tu voudrait le nourrir, il deviendrait maigre, tremblant. Au moment de le charger avec tes marchandises pour le marché, il s’écroulerait sous un poids qui ne lui pose d’habitude aucun problème. Il perdrait toute utilité pour toi.