Votre obsession de la santé vous a finalement amené au bord de la folie. J’aurais dû m’en douter. Tout cela remonte à ces maudites allergies que vous avez attrapées il y a neuf ans. Mon cher garçon, écoutez-moi. Il est temps que je prenne les choses en main. Il vous faut un bon psychiatre avant qu’il ne soit trop tard…
Ne jouez pas au plus fin. Je sais que vous êtes une création de ma fièvre. Je me demande ce que le psychanalyste de maman dirait s’il savait que mon esprit produit des poulets ? Il y a sans doute une explication. Quelque chose d’assez profond. Quel est votre sexe, si je puis me permettre cette question ? Votre voix n’est pas très claire mais me semble être plutôt féminine. A moins que vous soyez un futur coquelet. Non ?
Il devait dessiner des maisons pour super-richards et toucher de grasses commissions. Il vivait seul dans ce grand appartement, parce qu’il avait besoin d’espace. C’était aussi simple que cela. Voilà comment les gens comme lui avaient l’habitude de vivre. Tu veux ? Tu achètes.
Ses traits étaient délicats et elle possédait cette beauté naturelle, cette fraîcheur qui n’avaient pas besoin de maquillage.
Et ses yeux. Il n’avait jamais vu des yeux aussi grands, aussi bleus. Et son sourire… le plus chaleureux, le plus doux…
La vie était compliquée. Abby aimait Sticks, Sticks aimait le
basket, les gens croyaient que Sticks aimait Calico et Calico n’aimait personne.