S'il est vrai que j'ai du talent, je le dois par-dessus tout à ma bien-aimée cité de Vienne. C'est dans son sol que j'ai puisé ma propre force. C'est dans son air que flottaient les mélodies dont s'est emparée mon oreille, dont mon cœur s'est abreuvé et que ma main a transcrites.
(écrit reproduit dans "Johann Strauss: le père, le fils et l'esprit de la valse")