à l’envers de la peau
si l’écrivain inscrit le stigmate
comme une passion pour les langues
lointaines
en ce corps désormais vide la blessure
qu’à mon insu
les mots fêlés le ciel sans voix
ai-je vu ouvert en son mitan
l’âcre miroitement de l,air enfin visible
le silence l’abandon
le cordon resserré autour
du cou