Et maintenant les roses se sont rejointes, s’appuyant
l’une à l’autre, se touchant délicatement, le visage chif-
fonné au sortir d’un rêve avec les cheveux défaits, elles
émergent encore un peu plissées, elles sourient, esquis-
sent un bâillement jusqu’au fond de leur bouche où la
lumière se perd au milieu de leurs dents...,