On pense également qu’il s’adonna à la peinture d’enseignes, de carrosses et de maisons. Pareil travail n’était d’ailleurs pas aussi banal qu’il peut paraître de nos jours. Les enseignes des boutiques et les flancs des carrosses des gentilshommes étaient généralement décorés de scènes élaborées et flamboyantes qui avaient exigé force habilité, à défaut d’imagination.