Le camarade Oubiykone : - Trois listes sont en présence : l’une est celle du parti communiste. Que ceux qui s’opposent à cette liste lèvent les mains !
Simultanément, Oubiykone et ses quatre collègues sortirent leurs revolvers et dévisagèrent la foule des paysans, l’arme menaçante au poing. Oubiykone continua :
- Qui donc se déclare contre cette liste ? Personne ? Je déclare que la liste communiste passe à l’unanimité. Il devient donc inutile de faire voter pour les deux autres.
Ceux qui osaient protester contre la liste communiste, ou qui levaient la main pour appuyer d’autres listes, étaient immédiatement emprisonnés où même fusillés.