Je restai seule dans un site forestier vraiment idéal tel qu'en rêve la poésie allemande : ces longues perspectives, ces vastes clairières, ces colonnades ombreuses de chênes antiques, semblaient faites pour les courses aériennes du Roi des aulnes et de ses filles. Ce ne fut pourtant ni un elfe, ni une Nymphe chasseresse qui vint à moi, mais le démon du Freischütz.