— Tes enfants seront très chanceux, laisse-t-elle tomber.
— Pourquoi crois-tu cela ?
— Parce qu’ils auront des parents compréhensifs.
— Des parents ? répété-je. Je ne sais pourtant pas encore qui sera le père de mes enfants.
— C’est sûr que tu choisiras un bon père.
Je la questionne du regard.
— Ton ami, le docteur, serait un bon père pour tes enfants. Ça paraît. Ça se sent.