Tétaz note que les Français jouissaient d'une plus grande liberté que les autres étrangers. Par conséquent, ils occupaient bon nombre d'emplois laissés vacants par les Allemands. A sa grande surprise, plutôt que d'attiser leur animosité traditionnelle, cela avait donné aux deux nationalités l'occasion de réaliser tout ce qu'ils avaient en commun.