Pour la troisième nuit consécutive, vous vous réveillez la narine pleine de poussière, à même le planchez véreux. Vous peinez à vous orienter dans le noir mais, bientôt, la lune pénètre par la charpente crevée et révèle à vos yeux la ronde des fantômes, dont la luminescence spectrale emplit le grenier. Vous sentez le duvet se dresser sur vos bras maigres : cette nuit, sans faute, il vous faut les affronter.