Chaque torture le blesse autant qu'elle le soulage. Chaque coup que Morek lui a infligé a meurtri sa chair, mais a apaisé son âme. Chaque larme d'épuisement versée a rongé sa peau, mais lénifié les maux de sa conscience. La douleur, il l'a accueillie comme une punition, une rédemption. Un châtiment pour ce qu'il a commis : l'impardonnable. Tout ce sang, ces coups, ces tortures... sont amplement mérités.
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