À la réflexion, le bambou est l’élégance même. Et pourtant, tout bambou qu’il fût, ce « bambou nain » qui croît et prospère, tel les mauvaises herbes, en bordure des clairières ou des sentiers est, lui, piétiné, arrosé d’urine, pitoyable au point de ne retenir la moindre once d’attention du jardinier quand un bonhomme obstiné désire le planter chez lui au nom d’un esthétisme affecté.