Il y avait une part culturelle dans l'attitude des Nippons à ce moment-là, peut-être une influence de croyances bouddhistes: les catastrophes naturelles sont des problèmes que l'on ne solutionnera pas, c'est le destin. La panique, elle, est un phénomène contagieux qui résulte de l'égoïsme, du sauve-qui-peut, alors que dans de telles circonstances, il faut au contraire être solidaire.