Midori avoua le crime, les crimes. Tant de jours passés devant ces policiers, elle ne savait plus que dire, ne pas dire, elle ne savait même plus ce qu’elle avait fait, pas fait. Elle voulait juste en finir.(…)
Aux yeux des policiers, elle était une pute doublée d’une tortionnaire, l’affaire était claire.(…)
Midori n’est pas combative. Elle est résignée. (…) Elle est mentalement détruite par ce qu’elle a fait.