Je vivais dans une sorte de bulle – réussir dans le mannequinat devint une véritable obsession, tout le reste m’importait peu. J’oubliai les vide-greniers que j’organisais pour les bonnes œuvres et, même si je donnais encore de l’argent aux clochards dans la rue, je ne me se souciais pas vraiment des personnes dans le besoin.