Haut dressé sur ses étriers, frappant de la hache ou de l'épée, il semait la terreur dans les rangs ennemis, tandis que son cheval terrible, pressé par le cavalier, hennissait, les naseaux écumants. Sur ses flancs d'ébène ou les flèches elles-mêmes semblaient ne pas avoir de prise, couraient de rudes frissons, et c'était comme si un être étrange eût pris part à la guerre, et, soutenu par le feu du ciel, se fut jeté dans la mêlée.