Passant mes doigts sous l’élastique de son caleçon, je le fais lentement glisser sur ses cuisses, gardant mon regard plongé dans celui de Travis. Dès que le caleçon est suffisamment descendu, sa queue se libère du vêtement et se tend vers le plafond. J’avale ma salive, luttant contre l’envie d’y goûter, mais je sais que je ne peux rien commencer maintenant. Même si j’en ai désespérément envie.