Je le déteste trop pour que ce soit possible. Il se montre tellement désagréable que ça lui enlève tout charme. Je ne le trouve pas beau du tout. Ni quand il joue avec son dé et que je fais une fixette sur la longueur de ses doigts. Ni quand il abat son regard glacial sur moi et que je frissonne. Ni quand son tee-shirt s’enfonce dans les sillons de ses abdominaux outrageusement saillants et que j’hypersalive.
Tout cela ne sont que de pures coïncidences.