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Critiques de Kotaro Shouno (17)
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World's end harem, tome 2

Reito, malgré toutes les tentatives de séduction de la part des femmes autour de lui résiste et refuse de s’adonner au « mating ». Ses objectifs sont toujours de retrouver son amie d’enfance, devenue scientifique, Elisa et aussi de travailler pour découvrir un vaccin contre le virus MK. (Male Killer). Les autorité de l’UW désespère face à la mauvaise volonté que montre notre héros à vouloir copuler. N° 1, le premier homme a être réveillé après l’épidémie, quant à lui, profite de la situation d’être le dernier mâle et se gave de sexe. Il aurait déjà copulé avec une centaine de femme dont vingt-huit seraient enceinte. Reito est convoqué par les ministres de l’UW qui tentent de comprendre pourquoi cet homme qui peut avoir toutes les femmes du monde refuse le Mating. Elle trouve alors avec lui un accord, lui offrir l’accès à un laboratoire et aussi partir à la recherche de son amie d’enfance, celle qu’il attend, Elisa. Mais, dans l’accord, il doit passer dans les médias pour que le monde sache qu’un homme capable de se reproduire existe sur terre. Cette exposition médiatique peut le mettre en danger. Dans le même temps, les autorités japonaises qui ont encore en cryogénie trois hommes décident de réveiller le n° 3. Ils adoptent une nouvelle stratégie pour être certaine que ce troisième homme accepte les avances des femmes avec lesquelles il devra se reproduire…



Enfin, la publication du deuxième opus en numérique. En plus, l »éditeur nous gratifie en même temps du troisième et quatrième tome. Ne serait-ce pas des étrennes, là ? Et en plus, l’édition numérique est luxueuse, elle est agrémentée de plus de quatre-vingt pages en couleur. Et devinez quelles pages ? Les plus audacieuses évidemment. Côté dessin, les personnages sont très beaux, surtout les personnages féminins qui, naturellement, sont nombreux. Les pages en couleur ajoutent encore une touche de charme au graphisme. Côté scénario, il faut avouer que nous sommes avant tout dans la légèreté. Presque tout est fait pour mettre en valeur les jolies courbes féminines. Mais il y a un, voir plusieurs fonds. Les pistes développées sont intéressantes. Nous ne sommes clairement qu’au début de cette dystopie. Notre héros est altruiste, il préfère ne pas profiter du plaisir qui lui est offert en permanence pour tenter de trouver une solution plus durable pour sauver l’humanité. Nous sommes aussi dans le thriller car le virus serait une création humaine. Il y a aussi la disparition mystérieuse d’Elisa qui a laissé un message à Reito, espérant se faire entendre. La politique des autorités est aussi intéressante à suivre. Il y a un autre problème qui nous est contemporain, malgré que nous sommes en 2040. C’est l’afflux de réfugiés, évidemment des femmes car si la disparition des hommes a fait disparaître la guerre, elle a aussi déclenché des disparitions de savoir-faire et une crise économique sans précédent. Il y a aussi ce fossé entre les dirigeants qui semblent vivre dans le luxe et tout entreprendre pour conserver leurs privilèges et l’élitisme, négligeant l’éducation des couches de population de plus basses « extractions ». Bref, le scénario n’est sans doute pas un casse-tête mais cela, à réserver à un public averti est très agréable à lire. Lu comme à mon habitude en numérique au format KINDLE sur iPad. Vite, vite, vite, je saute sur le troisième opus.



Personnage :



Reito Mizuhara : Personnage principal. Étudiant en médecine, il souffre d’une maladie mortelle, la sclérose des cellules. Un traitement est sur le point d’être créé mais l’espérance de vie de Reito n’est pas suffisante pour l’attendre. Pour éviter la mort, Reito doit être plonger dans un sommeil cryogénique de quatre à cinq ans pour survivre le temps que le médicament soit au point.



Elisa Tachibana : Jeune étudiante en médecine. Reito lui a déclaré son amour avant d’être plonger dans un sommeil pour cinq ans. Elle est portée disparue depuis trois ans mais est sans doute partie faire des recherches sur l’origine du virus.



Mahiru Mizuhara : c’est la petite sœur de Reito. Avant le sommeil de celui-ci, elle est encore une petite fille. Elle a un regard sévère sur les femmes qui s’approche de son frère et elles sont nombreuses.



Ryû Mizuhara : c’est le grand frère de Reito.



Mira Suô : jeune femme qui est la responsable attitrée de Reito. Elle ressemble beaucoup à Elisa. Elle est très secrète et ne laisse que peu filtrer des informations à son sujet.



Virus MK : virus qui est responsable de la pandémie qui tua presque tous les mâles humains pendant le sommeil de Reito. MK pour Male Killer Virus.



UW : United Women est une organisation internationale créée pour gouverner le monde face à la pandémie qui risque de faire disparaître l’humanité.



Kyôji Hino : il était cryogéné comme Reito et pour la même maladie. Il est donc le premier mâle à survivre au virus. Les femmes l’appelle Numéro 1 et attribue le numéro 2 à Reito. Lui ne se pose pas de question d’éthique et profite de la profusion de femmes pour son plaisir et tenter de sauver le monde en se reproduisant.



Akane Ryûzôji : c’est l’infirmière attitrée de Reito. C’est une femme aux formes opulentes. Elle a un penchant pour l’alcool et tente souvent de séduire notre héros.



Sui : elle est encore une petite fille à moins que ce soit une lilliputienne. Elle ne connaît pas son nom de famille et est bizarrement la garde du corps de Reito. Très douce en temps normal, elle change littéralement quand Reito est en danger.



Neneko Isurugi : c’est la jeune femme responsable de N° 1. Elle lui passe tous ses caprices.



Shôta Doi : il va devenir le n° 3. Cinq ans plus tôt, au moment de la détection de sa maladie, la sclérose des cellules, il était le souffre-douleur de son école. Ses camarades le harcelaient sans cesses, tant les filles que les garçons le brimaient. Il le surnommaient « Sex-Doi », jeu de mot composé avec son patronyme.



Karen Kamiya : jeune femme responsable de n° 3.

















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World's end harem, tome 7

Shôta, le numéro trois, est maintenant à l’aise avec sa nouvelle vie. Décomplexé, il profite à fond de sa nouvelle vie et se livre sans retenue au sexe avec toutes les filles du lycée qui l’entourent. Le jeune homme se dit qu’il vit maintenant une vie merveilleuse, lui qui était le souffre douleur de ses camarades de lycée avant sa cryogénisation. Mais, en plein bonheur, le lycée est victime d’une attaque terroriste. Les filles du groupe qui ressemble à une secte, ont tenté de l’enlevé mais l’opération est un échec. Pendant ce temps, l’UW prend le pouvoir au Japon, emprisonnant les dirigeantes du pays en les accusant de crime contre l’humanité. L’objectif de l’organisation ne semble pas très pur…



Ce manga d’anticipation semble nait d’un fantasme masculin récurrent, être le dernier mâle survivant dans un monde de bombasse et de pouvoir librement se taper tout ce qui bouge. Au pays des aveugles, les borgnes sont roi, alors, imaginez d’être le seul dans ce monde de cécité à avoir une bonne vue … et pourtant, des femmes sont à la création du scénario. Il est clair que le but de ce manga, malgré un fond d’intrigue, est quand même de mètre en avant l’érotisme. Mais pas que, on peut y lire des revendications féministes, des revendications contre les entreprises qui jouent aux apprentis sorciers en risquant de « foutre » joyeusement notre planète en l’air et pr conséquence, notre espèce. Il semble aussi que si les femmes deviennent majoritaires, soit, ne représente plus seulement cinquante pour cents de l’humanité mais presque cent pour cents, elles adopterait entre elles un comportement encore plus machiste que les mecs. En toutes femmes, il y a un homme qui sommeille. D’ailleurs, les femmes ne sont -elles pas des hommes comme les autres ? Ce tome est, dans sa versions numérique, riche en pages joliment colorées. Évidemment, les auteurs ont privilégié les pages particulièrement érotiques et comme ce septième tome est particulièrement plus chaud encore que les précédents, le nombre de pages en coupleur montent à presque soixante-quatre. Oui, vous avez bien lu, ce septième opus est vraiment très provocateur et particulièrement riche en dessins très chauds. Mais jamais, au grand jamais, il ne tombe dans la pornographie. Il reste sagement érotique. Même si le fond est carrément sexuel, il conserve une intrigue. A la fois politique, médicale, policière, à la limite de l’espionnage et depuis le premier épisode, malgré que deux des cryogénisé réveillés n’arrêtent pas de s’envoyer gaiment en l’air, entourés de filles plus désirables les unes que les autres et plutôt portées sur « la chose », il reste une vraie intrigue dans ce scénario. D’abord notre héros, Reito Mizuhara qui résiste à la tentation car il rêve de retrouver sa copine d’avant l’apocalypse et aussi de découvrir un vaccin qui pourrait sauver ce qui reste de l’humanité. Il y a sa copine, son ex d’avant sa congélation, qui menace l’UW d’actes terroriste car elle l’accuse d’avoir créer le virus mais qui rêve aussi de sauver le monde et de découvrir un vaccin. Bref, un peu de profondeur dans ce monde de légèreté, ce qui apporte un peu d’équilibre à une histoire qui, grâce à ce savant dosage, évite de devenir écœurant d’érotisme. Lu comme d’accoutumée en format KINDLE avec une top numérisation qui, mieux que la version papier, est augmentée de pages richement colorées.



Personnages :



Reito Mizuhara : Personnage principal. Étudiant en médecine, il souffre d’une maladie mortelle, la sclérose des cellules. Un traitement est sur le point d’être créé mais l’espérance de vie de Reito n’est pas suffisante pour l’attendre. Pour éviter la mort, Reito doit être plonger dans un sommeil cryogénique de quatre à cinq ans pour survivre le temps que le médicament soit au point.



Elisa Tachibana : Jeune étudiante en médecine. Reito lui a déclaré son amour avant d’être plonger dans un sommeil pour cinq ans. Elle est portée disparue depuis trois ans mais est sans doute partie faire des recherches sur l’origine du virus.



Mahiru Mizuhara : c’est la petite sœur de Reito. Avant le sommeil de celui-ci, elle est encore une petite fille. Elle a un regard sévère sur les femmes qui s’approche de son frère et elles sont nombreuses.



Ryû Mizuhara : c’est le grand frère de Reito. Il a encore la chance d’être cryogéné et donc, d’avoir un espoir de survivre au virus si les scientifiques actuelles (au féminin puisqu’il ne reste que des femmes sur la planète) trouve un vaccin contre le virus MK.



Mira Suô : jeune femme qui est la responsable attitrée de Reito. Elle ressemble beaucoup à Elisa. Elle est très secrète et ne laisse que peu filtrer des informations à son sujet.



Virus MK : virus qui est responsable de la pandémie qui tua presque tous les mâles humains pendant le sommeil de Reito. MK pour Male Killer Virus.



UW : United Women est une organisation internationale créée pour gouverner le monde face à la pandémie qui risque de faire disparaître l’humanité.



Kyôji Hino : il était cryogéné comme Reito et pour la même maladie. Il est donc le premier mâle à survivre au virus. Les femmes l’appelle Numéro 1 et attribue le numéro 2 à Reito. Lui ne se pose pas de question d’éthique et profite de la profusion de femmes pour son plaisir et tenter de sauver le monde en se reproduisant.



Akane Ryûzôji : c’est l’infirmière attitrée de Reito. C’est une femme aux formes opulentes. Elle a un penchant pour l’alcool et tente souvent de séduire notre héros.



Sui : elle est encore une petite fille à moins que ce soit une lilliputienne. Elle ne connaît pas son nom de famille et est bizarrement la garde du corps de Reito. Très douce en temps normal, elle change littéralement quand Reito est en danger.



Neneko Isurugi : c’est la jeune femme responsable de N° 1. Elle lui passe tous ses caprices.



Shôta Doi : il va devenir le n° 3. Cinq ans plus tôt, au moment de la détection de sa maladie, la sclérose des cellules, il était le souffre-douleur de son école. Ses camarades le harcelaient sans cesses, tant les filles que les garçons le brimaient. Il le surnommaient « Sex-Doi », jeu de mot composé avec son patronyme.



Karen Kamiya : jeune femme responsable de n° 3.



Les femmes autour de N° 3 :



Yuzuki Hanyû : Professeur principal qui était déjà une enseignante de Shôta avant sa cryogénie. Sa mission, séduire le jeune lycéen pour qu’il pratique le « mating ». Promotions : 94H- 56-85



Shunka Hiiragi : élève au lycée reconstitué. Doit aussi séduire N° 3. Elle est passionnée par les dessins animés et complexe, malgré ses belles proportions, sur la taille de sa poitrine. Proportions : 78B-54-76



Akira Tôdô : La championne de volley-ball. Proportions : 92G-58-90



Natsu Ichijô : fille issue de l’ancienne noblesse, jolie blonde mais elle ne sais pas s’habiller seule. Proportions : 87E-60-86



Chifuyu Kuroda Lain : métisse. C’est la plus jeune du lycée car elle est un haut potentiel et a été avancée de plusieurs années. Elle a des notes exceptionnelles mais est nulle en sport. Son corps n’est pas encore trop développé. Pas de proportion communiquée.



Les nouvelles responsables de Reito :



Maria Kuroda : nouvelle co-responsable de Reito, scientifique spécialisée dans les virus. Elle oublie souvent de se vêtir.



Léa Katagiri : nouvelle co-responsable de notre héros. Clairement, l’une des rares femmes de l’histoire à ne pas aimer les hommes. Elle se montre très froide et sévère envers Reito. Ancienne employée de l’UW, avec pour spécialité de s’occuper des centres de réfugiés. C’est une ancienne connaissance de Mira, l’ancienne responsable de notre n° 2.





Madame Taniguchi : vieille dame dont le mari est la première victime japonaise du virus MK. Elle pourrait donner des renseignement sur le virus a Reito et l’équipe de chercheur mais elle en veut à l’UW d’avoir disséqué son époux. Elle entretient mystérieusement des contacts avec Elisa Tachibana, chercheuse et amie d’enfance de Reito pour le moment disparue.



Personnage tome 5 :



Shion Hoshino : elle vient de rentrer au lycée de Shôta. Elle a le même âge que lui et elle fréquentait le même établissement scolaire que lui. Elle le voyait se faire torturer par ses camarades mais restait indifférente aux sévices que subissait Shôta. Elle rêve de devenir une star mais dans ce monde sans hommes, c’est presque devenu impossible pour une femme. Elle décide que si elle copule avec son ancien camarade de classe, elle pourrait tomber enceinte, ce qui la mettrait sous les feux de la rampe.



Personnages tome 6 :



Chloé Mansfield : américaine pulpeuse, directrice du bureau de maintient de la paix de l’UW. Elle s’était fait passer pour une étudiante pour infiltrer le Japon dans l’intérêt de la sécurité de Reito.



Personnages tome 7 :



Zen Kinebuchi : c’est le quatrième homme, allias numéro quatre, qui est réveillé de la cryogénisation. En deux mille quarante, quand il est tombé malade et a dˆ se faire cryogénisé, sa copine venait de tomber enceinte et ils se sont mariés avant son grand sommeil de cinq ans. Ils travaillait comme commercial pour une société informatique et avait une jeune femme intraitable pour cheffe. Elle était jalouse de son mariage et de sa copine. Son réveil sera brutal car il a été enlevé par l’organisation terroriste qui accuse l’UW de vouloir créer un monde sans homme et d’avoir mis au point le virus MK.



Izume : dans le passé, elle était la cheffe de Kinebuchi au travail. A l’époque, cinq ans plus tôt, elle agissait au travail comme un despote. Elle était jalouse que Kinebuchi soit amoureux et épouse une autre femme qu’elle. Ambitieuse, elle maltraitait ses employés. Après la pandémie, elle est devenue la leader du groupe terroriste Izanami. C’est une des responsable de l’enlèvement de numéro quatre.



Izanami : organisation terroriste ou espèce de secte qui lutte contre UW. Elle accuse l’UW d’avoir mis au point le virus MK et de vouloir créer un monde sans homme. Le groupe commence à se manifester par des actes violents en posant des bombent. Le groupe semble dirigé par Izume et Elisa, la fiancée médecin de Reito, qui a disparue. Le groupe terroriste est apparenté à une secte Les femmes qui en sont membres se sont marquées du sigle de leur groupe au fer rouge.

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World's end harem, tome 1

Reito Mizuhara est un jeune étudiant en médecine. Son amie d’enfance Elisa Tachibana aussi. Mais Reito voit son avenir boulversé, il souffre d’une maladie rare et mortelle, la sclérose des cellules. Nous sommes en 2040 et il peut être sauvé par un traitement. Mais ce traitement n’est pas encore au point alors pour l’attendre, il doit se faire cryogéner pendant cinq ans. Avant de plonger dans un long sommeil artificiel, il déclare son amour à Elisa. Cinq année plus tard, on le réveille. Il est guéri mais bizarrement, aucun membre de sa famille n’est là pour l’accueillir. Il est juste entouré de femmes. Mira Suô, très jolie, lui apprend que lors de son sommeil, un nouveau virus, appelé MK, a décimé presque tous les hommes de la planète. Le monde est plongé dans un cahot et la population est féminine. Seuls les mâles qui furent plongés dans un sommeil artificiel parce qu’ils souffraient de la même maladie que notre héros sont capables de résister au virus MK (Male Killer virus). Un premier homme a été réveillé, appelé par les femmes numéro 1. C’est Kyôji Hino qui semble bien profité de la situation. Cinq hommes seulement ont subit e même sort que Reito et il est le deuxième à être réveillé. Cinq hommes pour cinq millard de femmes. Ils sont l’espoir que l’humanité ne va pas disparaître. Une femme est attribuée pour s’occuper de Reito, Mira Suô. Elle est très jolie et un de ses devoir est de réveiller la libido de Reito pour que celui-ci devienne un reproducteur et sauve le monde. Mais ce dernier résiste à la tentation car il veut retrouver Elisa qui lui avait promis de l’attendre. Cette dernière est devenue chercheuse et travaillait sur le virus avant de mystérieusement disparaître. Plutôt que de profiter de sa situation, Reito refuse toute copulation malgré le nombre impressionnât de jolie femmes qu’on lui propose. Il se donne un mois pour retrouver Elisa avant de prendre d’autres décisions. Il se voit aussi attribuer une infirmière très jolie : Akane Ryûzôji et un grade du corps qui ressemble à une petite fille : Sui. Il a aussi retrouvé sa sœur Mahiru. Son grand frère fait partie des mâles sauvés par la cryogénie avant d’avoir été contaminé. Seulement, si les cinq mille hommes ainsi endormi sont réveillés, ils muets instantanément tout comme les enfants mâles qui ont été conçus grâce à l’insémination artificielle…



J’espérais que ce manga sorte en version numérique. La version papier compte déjà trois tomes. En numérique, seul le premier opus été édité. Je ne sais pas pour la version papier mais ici, le manga se voit agrémenté de quelques pages en couleur. Ces pages ne sont as choisies au hasard car chaque fois que nous sommes en présence de couleurs, c‘ est quand il y a des scènes avec des femmes dénudées. Même si ce n’est pas pour me déplaire, je pense que c’est juste une manœuvre aguicheuse et que cela n’apporte rien au manga. Maintenant, que penser du scénario. Évidemment ce premier tome est une amorce pour la série. J’ai d’abord eu le sentiment que le scénario part d’un fantasme masculin qui est de se retrouver le seul mâle permis des centaines de femmes. Si le numéro 1 confirme ce dire, parce qu’il prétend être au paradis et choisi ses femelles sur catalogue, numéro 2, soit Reito est plus moraliste et préfère retrouver son amour pour consommer. Malgré tous les stratagèmes de séduction des quelques femmes qui l’entoure, il résiste et se met en tête deux objectifs : retrouver son amour en la personne d’Elisa et se mettre à travailler en cherchant un remède contre le virus MK pour sauver les cinq mille hommes congelés. Le scénario n’est pas très profond, nous sommes dans la légèreté mais les tomes suivant annoncés devraient être plus profonds, avec du suspens car je suppose que la disparition d’Elsa ainsi que le vol de ces travaux de recherche sur le virus entraînerons d’autre objectifs que la copulation. Les dessins sont très bons, les femmes sont merveilleuses, à croire qu’il ne reste comme survivantes que des bombasses. Bref, c’est aussi rempli d’humour malgré une situation on ne peut plus dramatique (l’espèce humaine en voie de disparition, tout de même). Vu le niveau technologique en 2040, on peut aussi s’étonner que les recherches ne s’appuient pas sur le clonage d’êtres humains, alors qu’à notre époque, on sait déjà le pratiquer sur des moutons. Ca confirme clairement que se manga se veut surtout érotique et je ne vous cacherai pas que ce n’est pas pour me déplaire. Donc, vivement les opus suivants. J’attendrai patiemment leur publication en numérique. Lu sur KINDLE avec une très belle numérisation.



Personnage :



Reito Mizuhara : Personnage principal. Étudiant en médecine, il souffre d’une maladie mortelle, la sclérose des cellules. Un traitement est sur le point d’être créé mais l’espérance de vie de Reito n’est pas suffisante pour l’attendre. Pour éviter la mort, Reito doit être plonger dans un sommeil cryogénique de quatre à cinq ans pour survivre le temps que le médicament soit au point.



Elisa Tachibana : Jeune étudiante en médecine. Reito lui a déclaré son amour avant d’être plonger dans un sommeil pour cinq ans.



Mahiru Mizuhara : c’est la petite sœur de Reito. Avant le sommeil de celui-ci, elle est encore une petite fille.



Ryû Mizuhara : c’est le grand frère de Reito.



Mira Suô : jeune femme qui est la responsable attitrée de Reito.



Virus MK : virus qui est responsable de la pandémie qui tua presque tous les mâles humains pendant le sommeil de Reito. MK pour Male Killer Virus.



UW : United Women est une organisation internationale créée pour gouverner le monde face à la pandémie qui risque de faire disparaître l’humanité.



Kyôji Hino : il était cryogéné comme Reito et pour la même maladie. Il est donc le premier survivant mâle à survivre au virus. Les femmes l’appelle Numéro 1 et attribue le numéro 2 à Reito. Lui ne se pose pas de question d’éthique et profite de la profusion de femme pour son plaisir et tenter de sauver le monde en se reproduisant.



Akane Ryûzôji : c’est l’infirmière attitrée aux formes opulentes de Reito.



Sui : elle est encore une petite fille à moins que ce soit une lilliputienne. Elle ne connaît pas son nom de famille et est bizarrement la garde du corps de Reito.

















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World's end harem, tome 1

World's end harem est un shonen manga qui a fait énormément parler de lui dans son pays natal. En effet, au Japon, ce titre est un véritable best-seller dont chaque volume sorti a fini pratiquement en top des ventes devant des titres renommés comme Fire punch ou My hero Academia (!). Il faut préciser que c'est avant tout un best seller numérique. World's end harem fait a priori partie d'un tout premier catalogue de titre numérique proposé par l'éditeur original Shueisha. Personnellement, pour le coup, je suis resté fidèle à la version papier mais pour celle et ceux qui seraient intéressés par le numérique, sachez que cette édition contiendrait 30 pages couleurs en plus d'après les avis de mes collègues babyloniens...

Au passage, mes sources concernant la renommée de ce manga "numérique" provient tout simplement du site Manga News.



Bref, World's end harem est une comédie de science-fiction érotique plutôt bien fichue et assez attachante. Nous sommes dans un monde ravagée par un virus qui s'est attaqué uniquement aux hommes. 5 ans plus tard après l'épidémie, un jeune homme se réveille de son statut cryogénique pour se rendre qu'il l'un des rares gugusse encore en vie dans un monde peuplé à 90 % de femmes et quelles femmes !!! Bref, notre personnage a pour ordre de repeupler la Terre mais comme de bien entendu , notre héros est avant tout un romantique bien décidé à retrouver son unique amour disparue depuis l'épidémie... mais c'est sans compter les nombreux de séductions ultra-sensuelles de la part des autorités féminines qui comptent bien avoir un enfant de lui. Après tout, l'avenir de la planète est en jeu !



Bref, avec World's end harem, ne vous attendez pas une histoire réellement profonde. Honnêtement, même si il y a un début d'intrigue de SF assez sérieux, je pense que ce manga finira par basculer définitement dans le coquin et à enchaîner les situations graveleuses pour le grand plaisir des lecteurs et lectrices adeptes du manga érotique.

Je n'ai pas détesté ce titre, le dessin Kotarô Shouno est , comme on peu s'y attendre, des plus FORMels pour ce type de manga. L'auteur s'amuse à souligner les sculpturales corps féminins, un trait caractéristiques des mangas érotiques ou fan service qui ravira les plus coquins d'entre nous. Mention spéciale pour l'infirmière ... En dehors de ça, les auteurs ont crée un petit univers de SF propice au cadre de l'intrigue mais honnêtement, on s'en moque pas mal...

Même si j'ai été séduit par ce manga, je dois bien avouer qu'on a affaire à un titre plutôt léger qui oscille entre une petite intrigue SF pas franchement palpitante et des situations graveleuses dont on connait par avance le schéma ( ahhh la figure du jeune homme déboussolé dans cet harem...) .



Pour moi, WEH est un petit shonen érotique à prendre au second degrés. Nous verrons comment se profilent les autres tomes mais pour l'instant ce manga me fait l'effet d'un petit bain tiède, sympa à lire malgré l'absence d'intensité et d'humour décapant.



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World's end harem, tome 1

Manga événement des éditions Delcourt/Tonkam, « World’s End Harem » ne brille pas spécialement par son originalité, mais le scénario à peu près crédible et le dessin très plaisant en plus d’avoir de nombreuses pages travaillées en couleur dans son édition numérique est indéniablement divertissant.
Lien : http://bdzoom.com/135175/man..
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World's end harem, tome 1





Résumé :



Etudiant en médecine, Reito Mizuhara n’a d’autre choix que le sommeil cryogénique en attendant que les Intelligences Artificielles trouvent le remède à la sclérose en plaques dont il souffre.



Malgré tout, le jeune homme décide de déclarer sa flamme à Elisa qu’il connaît depuis la primaire et lui offre un médaillon avant d’être endormi.



Lorsqu’il reprend conscience comme prévu cinq ans plus tard, Reito est guéri.



Son bonheur est de courte durée, car il découvre que peu de temps après sa mise en suspension en 2040, le monde a été dépeuplé par un virus pathogène très puissant.



Le « Male Killer » a été contracté par 99,9 % des hommes. Sa semence est devenue une ressource inestimable pour permettre la reproduction du genre humain et il découvre aussi la disparition d’ Elisa.



Notre avis :



Manga le plus populaire du magazine de prépublication de Shüeisha, maison d’édition japonaise associée à des séries incontournables telles One pièce ou plus récemment My hero academia. World’s end Harem, devenu un des porte-flambeaux de la lecture en ligne du groupe nippon, se présente comme, à ce jour, l’oeuvre la plus abordable de Kotarô Shouno, dessinateur qui vient du hentai (mangas à caractère pornographique) et dont c’est la première production chez un professionnel.



Le scénario signé Link n’est pas sans rappeler le remarquable et jamais réédité roman de Virgilio Martini « Un monde sans femmes » (Denoël – 1970), « Un gars et son chien » d’Harlan Ellison (qui a donné l’occasion d’une adaptation cinématographique – Apocalypse 2024) ou plus récemment le comics,« Y, le dernier homme » de Brian K. Vaughan, qu’il reprend d’une certaine façon au travers ce récit d’anticipation mettant en scène un futur sans mâles où la fécondation in vitro échoue à repeupler la planète dont un genre a été quasi décimé par un virus.



Le résultat, quoique réservé à des adultes avertis, a le mérite d’associer érotisme et humour, sans être dénué d’un peu de réflexion.



Ce premier tome et ces six premiers chapitres n’ont guère l’occasion de trop développer l’intrigue, il ressort que l’union internationale mondiale mise en place n’est pas reconnue par tous et sans encore parler de conflits.



Il est évident que des rivalités existent : pour preuves quelques échanges « vachards » entre les agentes responsables de Reito (renommé Numéro deux) et Kyôji Hino, premier homme a avoir été sorti du coma. Ce dernier profite beaucoup plus de la situation que notre sentimental héros qui se voit néanmoins régulièrement harcelé et qui n’a pas d’autre choix que d’accepter les conditions que lui impose Mira Suô pour qu’elle accepte son choix de se réserver pour Elisa.



Les personnages plus jeunes, telles Sui ou bien encore Mahiru, la sœur de Reito, au-delà d’une certaine ambiguïté (ce sont des petites filles dans un univers très sexué) sont l’occasion de situations drôles qui changent des quiproquos avec les femmes adultes à fortes poitrines qui veulent être fécondées aux allures interchangeables : c’est la principale critique que l’on peut faire en ce qui concerne le trait du mangaka sur ce seinen.



Deux premiers recueils de World’s end harem ont déjà été édités chez Delcourt/ Tonkam



Le troisième est annoncé pour le 17 octobre.



Si vous êtes amateur de science-fiction et de mangas cocasses et légers (il n’est pas question ici de perversion comme dans Dead Tube par exemple), cette série est pour vous !


Lien : http://www.khimairaworld.com..
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World's end harem, tome 1

Un scénario de SF un peu classique : notre héros sort de sa cryogénisation et découvre qu'un virus a éradiqué tous les hommes de la planète sauf cinq.



Et à partir de là, la qualité du manga sombre dangereusement ; la mission du personnage devient celle de repeupler la terre mais pas de panique, les plus jolies femmes de la Terre sont à ses pieds, toutes plus sublimes les unes que les autres et toutes avec des seins aussi gros que des pastèques transgéniques.



Bref, un prétexte pour dessiner des seins et des femmes nues pleines de désir pour un seul homme. Le récit m'a fait penser à "et on tuera tous les affreux" de Boris Vian (même si l'univers est très différent et la fin bien plus intéressante).



Une petite scène insolite : un ours qui rentre dans un complexe/hôpital de recherche gardé par des robots. Mais apparemment c'est normal pour tout le monde. Mouais.



Le manga aurait pu exploiter le côté scientifique ou philosophique de la chose voire le côté survie éventuellement mais non on reste dans le sexe à outrance et surtout des seins.



C'est lassant et inintéressant. A la fin du tome 1 il y a un petit teaser qui annonce que le tome 2 sera encore plus érotique, on voit bien le public visé.



Il plaira surement aux 12/15 ans, au-delà j'ai de sérieux doutes...
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World's end harem, tome 1

Le premier tome de World’s End Harem est arrivé en numérique, avec une édition spéciale contenant 30 pages en couleurs. C’était donc le moment idéal pour découvrir ce titre et voir ce qu’il avait à proposer, hormis la belle plastique des demoiselles.



Nous sommes ici dans un titre futuriste, puisque l’histoire se place en 2040 et que tout est automatisé par des IA. Les gens n’ont plus besoin de travailler et dès qu’il y a un soucis, une IA s’en occupe. C’est ce qui arrive à Reito, qui découvre qu’il est atteint d’une maladie incurable. En attendant qu’un remède soit trouvé par les IA, il va passer 5 ans en caisson Cryogénique.



À son réveil, les IA ont trouvé un remède à sa maladie, et Reito est donc en parfaite santé. Sauf qu’entre-temps, un terrible virus a frappé la planète et a décime 99,9% des hommes. La société s’est donc écroulée, et même si les femmes ont pris le relais, l’avenir s’annonce trouble puisque sans les hommes, impossible de se reproduire.



C’est là que Reito et 4 autres hommes interviennent. Ils sont pour l’instant les seuls à être immunisés contre le virus, puisqu’ils étaient cryogénisés. Ils ont donc la lourde tache de répandre leur ADN avec un maximum de femmes.



L’idée est plutôt bonne, et même si le titre est un peu hot par moment, cela n’est pas vraiment dérageant. Je ne trouve pas que c’est du fan service gratuit, puisque contrairement à certains titres, le sexe est ici la thématique principale. D’ailleurs Reito ne veut pas copuler avec n’importe qui, puisqu’il est amoureux d’une fille qui a disparue durant ses années de stase.



Les scènes osées ne sont pas très osées justement, bien que le titre soit marqué en moins de 16 ans, il est bien plus soft que certains yaoi que j’ai pu lire car rien n’est vraiment montré, alors que sur certains yaoi c’est censuré, mais les détails sont bien là.



Une bonne découverte, même si l’aspect érotique du titre pourra en rebuter certains, mais au moins, ça ne tombe pas comme un cheveux sur la soupe et cela sert le propos du manga. À voir comment tout cela va évoluer, mais ça démarre très bien.
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World's end harem, tome 1

Un premier tome intriguant avec le concept de l'histoire, mais avec des scènes qui virent vite au sexe ( normal pour du ecchi vous allez me dire ), mais dans ce cas le logo interdit moins de 16 ans devrait être apparent sur la première de couverture
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World's end harem, tome 16

World’s End Harem constitue toujours une bonne lecture de science-fiction érotique. Cependant il apparaît aussi évidemment que les auteurs ont fait le tour de leur sujet : il ne leur reste donc plus qu’à conclure leur histoire.




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World's end harem, tome 16

Sans grande surprise ou éclat, un dernier acte qui reste agréable et nous amène doucement vers la fin.
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World's end harem, tome 1

✍️ L'histoire

L'idée est très intéressante et peut amener à pleins d'histoires différentes. En effet, il y a au moins deux informations bien distinctes : la disparition des hommes et l'apparition d'un nouveau virus. Même si les deux sont liés, ils peuvent également être traités différemment dans la suite de l'histoire (ce n'est que mon humble avis 😁).

Il est vrai que l'idée que les femmes gouvernent me plaît beaucoup mais je n'aime pas du tout le comportement de ces dernières envers les hommes restants. Lisez-le, vous verrez 😉



💃 Personnages

J'aime beaucoup le personnage principal, Reito Mizuhara, car il n'est pas comme le cliché qu'on fait des hommes en présence des femmes (des "bêtes" assoiffées de sexe) comme l'autre homme restant connu du manga (un vrai cas désespéré si vous voulez mon avis 😂).

De plus, il promet à la suite de l'histoire une vrai réflexion.

Pour se qui est des autres personnages, on ne les connait presque pas donc je vais attendre les prochains tomes.



🖍️ Graphisme

Ils sont juste magnifiques ! 😍

Les dessins sont soignés et très fins ainsi qu'expressifs et les décors sont juste whaou ! 😍
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World's end harem, tome 1

L'idée du "dernier homme" n'est pas très neuve, et d'autre l'ont exploitée avec beaucoup plus d'adresse, mais cette nouvelle série rajoute un filtre assez léger plutôt sympathique.
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World's end harem, tome 1

j'avais emprunté ce manga là où j'avais fait mon stage histoire de voir mais bien que j'ai trouvé que l'histoire était intéressante, j'ai trouvé que ça tirait en longueur et quelqu'un qui était plus avancé que moi dans l'histoire pensait la même chose à savoir que c'est lent et qu'il ne se passe pas grand chose, bref je ne continuerai pas
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World's end harem, tome 2

Une session qui joue la carte de la comédie lycéenne romantique et coquine, sur les fantasmes de l’adolescent timide qui devient du jour au lendemain un don juan malgré-lui. Un titre érotique simple mais très efficace grâce à un propos hors-norme assumé, un graphisme parfaitement sensuel et des personnages sympathiques, évitant le côté glauque de ce genre de sujet.
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World's end harem, tome 2

Une suite au même niveau que le premier, se lit bien mais sans plus. Encore un tome pour me faire une idée définitive.
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World's end harem, tome 1

Joliment dessiné, malin et coquin, un premier tome sympathique qui fonctionne bien et sans temps mort.
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