Alors, le recueillement de la vie monacale ne lui faisait pas peur. Loin de là. C’était même une aubaine. Dissimulée sous l’identité d’un homme, un templier qui plus est, elle n’aurait plus jamais à s’embarrasser de sa tenue ou de sa coiffure. Elle allait enfin pouvoir se consacrer corps et âme à ce qu’elle affectionnait par-dessus tout. Les livres !