Je me réveille avec la sensation de froid, de vide, de tête prise dans un étau qui prélude toujours à une journée en famille. Les congés annuels, c’est précieux, et ça me fait chier d’en gaspiller la moindre seconde avec les mômes de mes cousins, mon odieuse tante et les éternelles larmes de ma mère après quelques verres d’asti spumante.