« Certes, je savais encaisser les coups et subir plus de remarques blessantes que n’importe quel adolescent de l’Empire, mais ce traitement avait un terrible coût. Mon esprit était en mille morceaux. Son ultime attaque m’avait obligé à prendre des mesures radicales. Il m’avait transformé en tueur. Il m’avait condamné. »
Le bourreau vagabond (Emilie Milon)