- Je serais venu te libérer, assura-t-il, et il le répéta en voyant le regard dubitatif de la jeune fille. Je serais venu et si je n’avais pas pu marcher, j’aurais rampé pour toi. Et même si tu avais été totalement brisée, on aurait continué à se battre ensemble. Tu aurais perfectionné ton lancer de couteaux, ton maniement des armes à feu. Parce que c’est ce qu’on sait faire. On n’arrêtera jamais de se battre.
-Kaz (à Inej)