"La montagne fut, est et sera toujours un pôle magnétique, indépendant des vanités et des histoires insignifiantes du monde, une zone privilégiée du monde au-delà de laquelle il nous arrive parfois de contempler ce qui est réel, ce qui est beau, ce qui est éternel."
Anatoli Boukreev, cité par l'auteur dans l'épilogue.