" Ce qui pervertit la moralité ouvrière ce n'est pas le loisir, ce n'est pas la journée plus courte ou le salaire plus élevé, c'est le chômage et la misère. Le loisir n'est pas la paresse, c'est le repos après le travail (...) car il n'y a pas de joie au travail sans la joie de vivre."