Il la pénétra sans préliminaires et elle en voulait plus. Elle se tortillait comme un petit animal pris au piège, en lui balançant des répliques de film porno, qui avaient le don de l’exciter. Il avait envie de la pilonner, de la fendre en deux. Il se sentait libéré. Il pouvait enfin exprimer librement les pulsions que Juliette tempérait depuis plus d’un an. Jamais il n’aurait osé la secouer comme ça, sans égards.