Elle n’avait jamais compris pourquoi la masculinité ostensiblement affirmée la dégoûtait. Elle n’aimait pas les torses velus, ni les silhouettes athlétiques, débordant de muscles, ni les barbes. Pourtant les hommes ne l’effrayaient pas. Elle n’avait connu aucune expérience traumatisante, mais elle avait besoin de garder le pouvoir, même physiquement, sur son partenaire, comme si un excès de virilité pouvait mettre sa crédibilité en danger.