Il jeta un coup d’œil vers la salle de bain où j’entendais un bruissement d’eau.
— Tu possèdes un faucon ? questionnai-je.
— On ne peut pas posséder des animaux sauvages, mais ce faucon me fait confiance. Si tu avais crié, il aurait paniqué et il se serait blessé. Hé, détends-toi. Je ne vais pas t’attaquer.
— Ah ! merci bien, rétorquai-je avec sarcasme. Je suis tellement rassurée. D’après toi, qu’est-ce qui vient tout juste de se passer ? C’était une poignée de main amicale ?
— Hé, c’est moi qui saigne.